Accueil
24 avril 2016LA PREMIÈRE PHASE DES TRAVAUX est ACHEVÉE
faisons le point sur lA DEUXIÈME PHASE !
L’arrêté de péril a été signé en 2014, fermant l’église au public, car l’édifice était devenu franchement dangereux.
Sous la maîtrise d’oeuvre de Madame Claire GUIORGADZÉ, architecte du Patrimoine, de la Municipalité de Livilliers et de l’Association, il aura fallu à la fois trois ans de démarches techniques et administratives et un an d’exécution pour qu’enfin la première phase du projet des travaux de restauration s’achève.
Le programme de la première tranche comportait, entre autres, la réfection des voûtes… En voilà un moment spectaculaire avec la pose d’une nouvelle clé de voûte que nous avons pu immortaliser… Il faudra ainsi la monter et la descendre dans son logement des dizaines de fois en faisant de multiples ajustements : tout tient grâce à elle !
Pour mieux profiter de cette petite vidéo, n’hésitez pas à vous mettre en plein écran en cliquant sur le petit carré en bas et à droite.
Pour visualiser des photos de l’opération rendez vous sur la page TRAVAUX où vous en trouverez une synthèse
Désormais nous sommes fréquemment interrogés sur l’évolution des travaux non seulement par les adhérents de l’Association, les habitants de Livilliers, mais plus généralement par tous ceux qui apprécient la beauté de son église.
Le bruit court même que « tout serait arrêté »
Il s’agit d’une « fake news » (fausse information pour ceux que les anglicismes irritent !!!) car heureusement il n’en est rien.
L’Asel et la Commune ont déjà communiqué sur les financements publics et précisé que si la Région et le Département ont alloué des subventions pour la totalité de l’opération c’est-à-dire tranche ferme du marché (la nef et les collatéraux) et également tranche conditionnelle (le clocher et le chevet), en revanche la DRAC c’est-à-dire le Ministère des Affaires Culturelles) a imposé une réhabilitation en deux phases.
La première phase étant terminée, la Commune a déposé le dossier de la deuxième phase auprès de la DRAC et se trouve dans l’attente de la notification de l’aide publique pour celle-ci.
A ce sujet bonne nouvelle :
Nous vous avions signalé qu’une Commune ne peut, en principe, recevoir plus de 80% d’aides publiques pour un projet d’investissement et a l’obligation d’en financer, « de sa poche », 20%.
Cela étant, compte tenu de ce que les travaux concernent un monument historique et qu’elle dispose de faibles revenus, la Commune a, sur le fondement de décrets le permettant, sollicité des dérogations à ces deux impératifs.
La première relative au plancher des 20% lui avait été accordée en 2016 de sorte que les dons effectués via la Fondation du Patrimoine ne constituent pas des « aides publiques ».
Restait à obtenir la seconde relative au plafond des 80% car la DRAC lui a annoncé une subvention de 50% au lieu des 40% initialement envisagés ce qui, compte tenu également de la réserve parlementaire…sans doute une des dernières….qui n’était pas envisagée au départ, le lui fait dépasser de un peu plus de 1%…
Nous avons le plaisir de vous annoncer que sa demande de dérogation vient de faire l’objet d’une réponse favorable de Monsieur le Préfet du Val d’Oise, représentant de l’Etat dans le département.
Il n’en reste pas moins que l’élan de tous, déjà magnifique, pour sauvegarder notre église, ne doit pas s’arrêter là !!!
Nous aurons encore besoin de votre soutien
Vous serez bien évidemment tenus au courant du démarrage de la deuxième phase des travaux et invités à l’évènement qui ne manquera pas d’être spectaculaire, celui de la dépose du clocher.
A bientôt donc.
Il est toujours d’actualité de participer financièrement à l’opération en faisant un don défiscalisé pour ces travaux via la Fondation du Patrimoine. Merci à ceux qui l’ont déjà fait et par avance à ceux qui vont le faire.